• La parole philosophique de la rentrée :

    Lieu : Cours de math' spé.
    Personnages : Prof de math' spé et un élève fatigué d'avoir passer ses vacances à faire la tournée des fêtes.

    Prof : mais ça te coûte combien un week end en boîte ?
    Elève, la bave lui coulant légèrement sur le menton : Euh...17 euros.
    Prof : Alors si je compte bien, 2 week-end en boîte ça fait...
    Elève, s'écroulant sur la table : ça fait qu'à la fin des vacances t'as plus d'sous.

    Quand je disais que les vacances étaient coûteuses...

    Conclusion : J'accepte toujours les dons et numéros de cartes bancaires.

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  • Ôde à la fée verte.


    Rumeur : l'absinthe serait en voie de (re)légalisation (pas moi qui l'a dit, mais la prof de français). ça va faire plaisir à certains amateurs tels que Johnny Depp (l'homme idéal).


    Chanson de l'Absinthe

    Adorée ainsi qu'une sainte,
    Baisée autant qu'une maîtresse,
    Je suis la fidèle traîtresse,
    Le poison, le baume, -l'absinthe.

    Je suis l'île toujours ouverte
    Au rêveur naufragé qui souffre,
    Un ciel de flammes et de soufre,
    L'intarissable muse verte

    Close au cristal de mes rivages,
    Je suis une mer d'émeraude
    Où toujours la tempête rôde,
    Mais dissimule ses ravages.

    Je suis le sourd hamac qui berce
    Les douleurs d'amoureux mensonge,
    Je suis l'oubli, je suis le songe,
    Le désert sans fin qu'on traverse,

    La roue invisible et dentée
    Qui doucement saisit et broie,
    Le sphinx qui se fait une proie
    De ce qui passe à sa portée.

    Il est mien celui qui me goûte.
    Grisé par ma senteur perverse,
    Regarde ce peuple qui verse,
    En tremblotant, l'eau goutte à goutte

    Sans voir - esclave de mes charmes,
    Et fidèle jusqu'à la tombe -
    Que chaque goutte d'eau qui tombe.

    Jérôme Doucet


    Perso', je m'en fous, je suis :

    cccccccccccccccccccccccccccccccccccccccccccccccccccccccccccccccccccccccccccccccccccccccccccccccccccc.

    Censée !

    (nan, vous inquiétez pas, j'déconne...)


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  • Ce matin, réveil en plein fou rire : je venais de rêvais que ma prof' de français avait une grand mère qui s'appelait "la-poussière-doit-se-raccomoder-au-dernier-moment" (allez comprendre).

    Je vois que j'ai reçu un sms, le lis toujours en riant. J'apprends qu'un des potes de mon meilleur ami s'est jeté sous un train, a été propulsé sur le quai, et est à présent dans le coma. Le soir de la toussaint. Quelle ironie du sort.

    Fou rire : Stop.

    Incompréhension.Qu'est ce qu'ont tous ces gens à vouloir se tuer ? Alors que vivre ne demande que de manger boire et dormir. Les choses fondamentales, essentielles, simples lorsqu'on peut se les offrir. C'est tout. Stop.
    Le suicide est un crime contre l'Humanité.

    Puis, je me suis demandée aussi : pourquoi je cherche des amours compliquées ? Mais je sais, parce que la simplicité, facilité est source de lassitude. Et merde.


    Je m'assis sur le monde, j'observe : il tourne à l'envers.
    J'attends, que tout se remette à l'endroit.
    Posée sur ce monde...

    Il y a une citation de la rue kétanou qui me revient en tête "c'est pas nous qui marchons pas droit c'est le monde qui va de travers".
    ça serait de bonnes raisons pour se soûler la gueule
     mais j'ai à faire.
                    J'attends.


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  • Note à moi même :

    Ne plus jamais me servir de blanco comme vernis à ongles.


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